Le matelas à mémoire de forme, en plus d’assurer un doux confort d’utilisation, relève le décor de la pièce qu’il intègre. On en parle ici.
Matelas à mémoire de forme : mêlez design et confort
Sur le marché de la literie, les matelas à mémoire de forme sont nombreux. Ils existent sous plusieurs styles, design et modèles. Mais d’autres matelas existent aussi sous ses mêmes formes. Donc, a priori, trouver son matelas n’est pas difficile. Seulement, quand il s’agit de s’offrir un couchage confortable et de qualité, la liste se réduit et ne retient que le couchage à mémoire de forme. Pourquoi et surtout comment choisir son matelas dans la large panoplie de modèles ? Cet article répond à la question et présente les critères de sélection.
Les avantages du matelas à mémoire de forme
Pour être utile, un matelas doit garantir le confort. Mais le matelas à mémoire de forme, lui, qu’on l’ait choisi sur hypnia.fr ou non, va au-delà du standard. En fait, il propose deux autres avantages intéressants. D’abord, il est thermosensible. Ensuite, il permet de dormir d’un sommeil réparateur, et ce, quelles que soient les circonstances.
La thermosensibilité de ce matelas désigne sa capacité à s’adapter aux températures : celle du dormeur et celle de la pièce. Lorsqu’on s’y allonge, on a l’impression de dormir sur un bloc de béton. Ensuite, en fonction de la température corporelle, le matelas s’assouplit et devient doux. Mais lorsque la température ambiante faiblit, le matelas à mémoire de forme reprend lentement sa dureté, ce qui est très pratique en hiver par exemple.
Par ailleurs, ce couchage a la particularité d’absorber les mouvements. Donc, on peut y faire des mouvements, se retourner, bouger, sans réveiller son partenaire. En outre, toute la pression du corps est répartie sur l’ensemble du matelas. Cela garantit une relaxation totale, un relâchement des muscles, une sensation d’apesanteur… À tous égards, c’est le matelas idéal.
C’est d’ailleurs l’un des facteurs favorisant le marché de la literie en France comme on peut le constater sur le blog Nidouillet.com. Mais il en existe une grande variété, de différentes formes, design, et de nombreux fabricants. Comment choisir son modèle ? En tenant compte de certains critères.
La densité de la mousse
C’est vrai, le matelas à mémoire de forme est confortable. Mais saviez-vous que ce confort dépend de la densité de sa mousse ? Plus celle-ci est élevée, plus le standing est assuré. A contrario, plus elle est basse (moins de 55 kg/m3), moins le confort est garanti. Aussi, elle doit avoir une valeur proche du poids de l’utilisateur. Par exemple, pour une personne ayant entre 50 et 100 kg, une densité de 80 kg/m3 est idéale, plutôt qu’une de 55 kg/m3.
Les dimensions du couchage
Idéalement, un matelas doit faire 15 cm de plus en longueur que le dormeur. Ce dernier bénéficie ainsi d’un confort. Donc, si vous faites 175 cm, un matelas à mémoire de forme de 190 cm serait parfait. Bien sûr, vous pouvez aller jusqu’à 195 cm.
Pour ce qui est de la largeur, tout dépend de vos goûts. Voulez-vous un matelas de deux places ? Ou préférez-vous un couchage d’une place ? C’est à vous de décider. Dans tous les cas, vous pourriez avoir différents modèles :
- L 200 x l 140 ;
- L 190 x 90 ;
- L 200 x 160.
L’épaisseur de la couche
L’épaisseur de la couche viscoélastique, à ne pas confondre avec l’épaisseur du matelas, doit avoir au minimum 7 cm. En dessous de cette valeur, ce n’est plus un matelas à mémoire de forme. Mais bien entendu, une valeur supérieure à 7 cm, c’est encore plus agréable en termes d’enveloppement, de couchage, de bien-être, etc. En ce qui concerne l’épaisseur du matelas, l’idéal serait qu’elle oscille entre 15 et 18 cm.
La marque peut compter aussi
Alors que pour certains matelas, la marque est peu importante, pour les couchages à mémoire de forme, elle est capitale. C’est elle qui définit la qualité. Sans en citer une en particulier, on peut juste vous inviter à choisir une marque dont la renommée n’est plus à faire lorsqu’il s’agit de la mousse à mémoire de forme.
Finalement, choisir un couchage à mémoire de forme n’est pas aussi complexe qu’on le pense souvent.